Excusez par
avance la simplicité de cette analogie, dont l’imperfection n’aura
d’égal que le charme de mes connaissances encore imprécises, mais
c’est un peu comme si on souhaitait connaitre précisément
l’ensemble du mécanisme d’une montre à aiguille, de la plus
petite vis, au plus petit rouage et qu’on l’on s’évertuait à
bien comprendre comment tous ces composants interagissent les uns par
rapport aux autres, pour faire fonctionner les aiguilles de la dite
montre.
Il existe
aujourd’hui différentes techniques permettant d’étudier en
partie notre substance grise (Cf l’article de A.Paul Alivistatos et al).
L’imagerie fonctionnelle par exemple permet de mettre en évidence
l’activation de zones cérébrales, mais ne permet pas d’étude à
l’échelle neuronale. Par contre cette technique complétée par de
nouvelles (futures ?!) techniques électrophysiologiques
(nanotechnologie) basées sur l’exploration non invasive de
neurones unitaires, permettraient une réelle cartographie et surtout
de comprendre le fonctionnement global du cerveau dans différentes
situation physiologiques et pathologiques. Il s’agit là d’un
nouveau challenge pour nos têtes pensantes.
Une véritable
map brain donc qui permettrait d’aiguiller et de diriger les
équipes de recherche dans leur parcours et autre voyage exploratoire
à l’intérieur du cerveau.
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